samedi, octobre 26, 2013


Tout simplement parce que cette chanson me donne des frissons dès les premières notes, et ce depuis des années.

Allez, viens là, viens avec moi, ne pars pas sans moi
Viens-là, reste-là, ne pars pas sans moi,
Tu prends tes vêtements, tu les mets sur toi
Cette nuit dans ce lit, tu es si jolie..

Mais qu'est-ce qui brille sur nos regards
Ce sont tes yeux noirs,
Un corps musclé, des cheveux courts
Tu ressembles à un garçon,
Et je sens ta peau même sans lumière
Les serpents sont légendaires..

Où vas-tu les yeux noirs, tu t'en vas vers nulle part..

Allez, viens là, viens avec moi, ne pars pas sans moi
Viens là, reste là, ne pars plus sans moi,
Tu prends tes vêtements, tu les mets sur toi
Cette nuit dans ce lit, tu es si jolie..

On se reverra tous les jours dès notre retour,
Prends tes vêtements si tu as froid et mets-les sur toi
Mais tu cries dans l'eau, même en hiver et brillent tes yeux noirs..

Où vas-tu quand tu pars, dans la rue vers nulle part..

Allez, viens-là, viens avec moi ne pars pas sans moi
Viens là, reste là, ne pars plus sans moi,
Tu prends tes vêtements, tu les mets sur toi
Cette nuit dans ce lit, tu es si jolie!



Ce soir, Moly est toute cassée mais elle a quand même envie de passer rapidement écrire un peu sur son petit blog. *besoin d'un massage du dos au plus vite T_T *

Les longues semaines ont le don de peser sur mon moral et mon physique, mais je suis une warrior, une vraie, alors on s'accroche même si on a juste envie de donner des claques aux gens qui nous entourent!

Me voici à présent en vacances de Toussaint. Mais je sens que cette petite semaine passera très vite.
Au programme: journée à la foire, journée entre filles, être avec mon chéri, puis surtout préparer toutes mes affaires pour le voyage d'étude de ce samedi à Barcelone. (être en sweat et jogging pour être décontractée, dans une si belle ville? Naaan... Je suis coquette jusqu'au bout et je le reste!).

ça ne m'enchante pas vraiment de partir une semaine avec un groupe d'abrutis, et surtout de voyager la nuit en car. Puisqu'il le faut, je vais faire en sorte de bien me reposer cette semaine, pour affronter ce futur voyage culturel.
Pourtant, Barcelone m'évoque un tas de souvenirs.
Tout d'abord, ce voyage où je n'avais que 14 ans dans lequel j'ai découvert une ville pleine de richesses, à l'architecture particulière, grouillante de monde nuits et jours. Une ville qui m'a marqué pour sa beauté et son altruisme particulier. Une ville où l'on se sent tout simplement accepté tel que l'on est. Malgré son évolution et sa modernité frappante, j'y ai trouvé un peuple attachant et toujours souriant.
Barcelone me marquera à jamais, c'est le lieu de mes premières vacances en amoureux, rien qu'à deux.
Certes, voyager seule avec des amis à Londres fut une expérience enrichissante, et notre petit séjour à Koblenz avec mon beau père fut également riche en découverte de somptueux paysages.
Ici, rien ne vaut la sensation d'être à deux, loin de tout, déchargé de tout stress du quotidien. Simplement profiter du bonheur présent, choisir à l'instant même ce que nous désirons faire, flâner et errer à tout hasard dans ces décors propres et sécurisés.
Alors, même si ce voyage scolaire pourrait me déstabiliser, il ne pourra briser le charme de notre escapade en amoureux.

Une bonne nouvelle, j'ai un sujet de travail de fin d'études. Celui-ci sera consacré au tourisme durable.
Je me suis souvent intéressée à ce sujet. Le tourisme nuit hélàs souvent aux locaux. Les grandes multinationales ne prettent guerre attention à ces paysages. Il y a du massacre dans ce domaine. Il est primordial de penser à préserver nos terres, à protéger notre faune et flore, à respecter le peuple local, à ne pas l'exploiter vulgairement, à manger bio et ainsi favoriser nos petits agriculteurs et éleveurs. Nous devons réduire notre impact, tout simplement. Alors, comment faire? Comment devenir et penser touriste responsable? Quelles sont les actions déjà menées jusqu'à présent? Échec ou réussite de ces actions?
Le tourisme durable/écologique est-il une mode passagère, ou bien un domaine qui nous préoccupe réellement? Quel avenir pour le tourisme durable?

J'ai les idées en tête, mais il me reste encore tout à rechercher et travailler. Affaire à suivre...

Pour le stage, j'ai également trouvé un lieu qui pourrait être intéressant, le centre culturel de ma ville.
L'entretien avec la responsable s'est plutôt bien déroulé. Et pourtant, j'en suis ressortie complètement paniquée.  J'ignore si je serais à la hauteur pour de telles tâches. Je ne suis pas la fille audacieuse prête à saisir un micro et parler devant un groupe. Je ne me vois pas non plus communiquer avec des personnes invalides ou à retard mental. Je n'ai jamais côtoyé ces personnes, et ça m'effraie un peu. Je n'ai jamais non plus su guider un groupe à travers des bâtiments historiques. Je ne suis pas à l'aise en public.
Et pourtant, Dieu sait comme dans cette section, j'ai du à maintes reprises prendre sur moi, affronter les publics. Je pense avoir évolué en trois années d'études. Mais serait-ce suffisant? Je redoute cela...
Je dois donner rapidement ma réponse à la dame. J'ai déjà reçu des encouragements de la part de mes proches et de certains amis, l'expérience n'en sera que plus belle. Je vais encore y songer un peu.








mercredi, octobre 02, 2013

Il me manque..


Je me sens désarmée ce soir. J'ai du travail à perte de vue dans un peu tout les cours. Et par dessus tout, ce sujet de tfe qui doit être officiellement rendu pour le 15 octobre. C'est à dire qu'il me reste moins de deux semaines, et c'est le grand néant. Je suis dans le flou total et je ne sais pas ce que je vais faire pour m'en sortir.
Il me reste une chance, une idée de sujet. Mais là encore, rien n'est joué, je dois attendre de recevoir des nouvelles de la personne qui me guidera sur ce qu'elle attend de moi. Et si cela ne me convient pas, je n'ai pas de solution alternative.. A moins qu'une idée me tombe dessus d'ici là.

Les études, c'est aussi les joies des transports en commun. Trop de monde. Je m'épuise déjà le matin pour me frayer un chemin chaque matin. Et se retrouver coincée entre 14 personnes en fin de journée, sans air, dans un petit mètre carré et demi, se voir observée et fixée de longue minutes par ses inconnus, ça a de quoi m'angoisser. J'ai horreur de leurs regards.

Je ne sais plus trop comment faire face à ces tensions, ces stress consécutifs.
Et pourtant, ce n'est que le début d'une grande bataille.

Rentrer plus tard mais me sentir moins oppressée devrait être une solution pour rendre mon quotidien plus agréable. Et puis, ce sera l'occasion de prendre mon temps pour me consoler de ces dures journées autour d'un chocolat chaud ou d'un croissant à la framboise.

J'ai besoin de penser à autre chose, me libérer un peu l'esprit. Mais quand les tâches s’accumulent, ce n'est pas évident.
Je suis sortie mardi après midi à la Médiacité, je voulais juste m'offrir quelque chose, m'encourager. Et même si je n'ai pas fait de grandes trouvailles (et tant mieux pour mon portefeuille), je me suis tout de même offert des bas aux motifs baroques ainsi que des boucles d'oreilles en croix argentées. Depuis le temps que j'en
recherchais.

J'ai envie de revoir ma petite Indra. J'espère pouvoir organiser rapidement quelque chose entre filles.


En attendant, je rêve en repensant à nous, loin de tout.