Enfin un petit moment pour venir écrire ici!
Entre les longues journées, les travaux tardifs car je tombe endormie dès que je rentre à la maison, les soirées passent vite. De même pour mon temps libre qui du coup est assez restreint.. Mais nous sommes des warriors, c'est bien connu. Sinon je ne serais pas là où je suis arrivée. Le tri sélectif. La loi du plus fort. Étonnant de ma part pourrons nous penser.
Tout cela pour vous dire que le temps passe très vite, et que je suis assez surmontée. Encore 2 semaines de cours, de travaux à rendre un peu partout, et logiquement, je ne remettrais plus beaucoup les pieds là bas. Du moins, pas de longues journées.
J'avoue que certains professeurs auront tout de même bien fait leur boulot. Il y a des bons, comme des mauvais, partout. Mon cours de patrimoine artistique va particulièrement me manquer (et la prof aussi, elle est tellement belle, c'est vrai *-*).
En parlant de ce cours qui me tient à coeur, j'ai littéralement eu un coup de foudre pour un artiste. Les peinture de Paul Delvaux, artiste qu'on pourrait placer dans le surréaliste.
Sa technique est pour moi, incontestable. Faire revivre ses rêves à travers son pinceau, je trouve que ce n'est pas donné. Mais cela dit, retranscrire ou réinterpréter nos rêves reste un domaine qui me plait.
Chez Delvaux, il n'y a pas d’indécence, mais de la douceur. Les femmes nues semblent représenter des muses, ou des déesses de Rome antique. Leurs douce expressions froides m'interpellent. On a l'impression qu'elles rêvent elles-même éveillées, qu'elles sont inanimées.
Le squelette est également un élément marquant chez Delvaux, on le retrouve constamment.
Après tout, il y a quoi être interpellé lorsque nous sommes un jeune garçon, retrouvant chaque année, depuis notre plus jeune age, le squelette dans notre classe, qui nous observe et voit le temps s'écouler devant lui.
Les squelettes mis en scène sont tellement amusant, que j'ai envie de vous montrer quelques oeuvres de Delvaux et de ces squelettes vivants.
Entre les longues journées, les travaux tardifs car je tombe endormie dès que je rentre à la maison, les soirées passent vite. De même pour mon temps libre qui du coup est assez restreint.. Mais nous sommes des warriors, c'est bien connu. Sinon je ne serais pas là où je suis arrivée. Le tri sélectif. La loi du plus fort. Étonnant de ma part pourrons nous penser.
Tout cela pour vous dire que le temps passe très vite, et que je suis assez surmontée. Encore 2 semaines de cours, de travaux à rendre un peu partout, et logiquement, je ne remettrais plus beaucoup les pieds là bas. Du moins, pas de longues journées.
J'avoue que certains professeurs auront tout de même bien fait leur boulot. Il y a des bons, comme des mauvais, partout. Mon cours de patrimoine artistique va particulièrement me manquer (et la prof aussi, elle est tellement belle, c'est vrai *-*).
En parlant de ce cours qui me tient à coeur, j'ai littéralement eu un coup de foudre pour un artiste. Les peinture de Paul Delvaux, artiste qu'on pourrait placer dans le surréaliste.
Sa technique est pour moi, incontestable. Faire revivre ses rêves à travers son pinceau, je trouve que ce n'est pas donné. Mais cela dit, retranscrire ou réinterpréter nos rêves reste un domaine qui me plait.
Chez Delvaux, il n'y a pas d’indécence, mais de la douceur. Les femmes nues semblent représenter des muses, ou des déesses de Rome antique. Leurs douce expressions froides m'interpellent. On a l'impression qu'elles rêvent elles-même éveillées, qu'elles sont inanimées.
Le squelette est également un élément marquant chez Delvaux, on le retrouve constamment.
Après tout, il y a quoi être interpellé lorsque nous sommes un jeune garçon, retrouvant chaque année, depuis notre plus jeune age, le squelette dans notre classe, qui nous observe et voit le temps s'écouler devant lui.
Les squelettes mis en scène sont tellement amusant, que j'ai envie de vous montrer quelques oeuvres de Delvaux et de ces squelettes vivants.
Ensuite, un autre artiste qui m'a aussi retenu mon attention. Encore une fois, un grand artiste belge, il s'agit de Jean Delville, maitre du symbolisme. Un homme profondément dévoué à la magie noire et au satanisme.
Sa technique est là aussi tout simplement parfaite. Et tout cela me fait penser que je finirais par manquer d'oxygène si je ne me mettrai pas rapidement à m'y remettre, dans l'artistique. Voici donc quelques œuvres qui m'inspireront certainement prochainement.
Sur ces belles œuvres, je m'en vais manger mon petit mochi azuki et mon thé à la vanille, et je m'en vais me reposer! ^-^
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